| | | Garrett Denali [en cour] |  |
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+4Alice Cullen Jun Yajima Bella Cullen Garrett Denali 8 participants | | Auteur | Message |
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Garrett Denali
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Race: Vampire végétarien
| Sujet: Garrett Denali [en cour] ![Garrett Denali [en cour] Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) Sam 14 Fév - 15:39 | |
| Nom : Denali
Prénom : Garrett
Date de naissance & âge : 1753 à Wilmington en Caroline du Nord donc 303 ans
Nationalité : Américaine
Lieu de résidence :
Âge lorsque vous avez été transformé : 26 ans
Mode d'alimentation : Végétarien depuis 50 ans.
Avez-vous un don ou non, si oui expliquez : Aucun don.
Personnalité : J'ai beaucoup de principe... le premier est la liberté. Je tiens à mon indépendance même si je me suis engagé envers Kate et que je tiendrais ses engagements, je n'ai aucune envie de les briser, je tiens quand même à ma liberté et gare à ceux qui voudraient me l'enlever. Le respect aussi, jamais je n'insulte ou ne dis du mal sans raison... mais j'attend aussi du respect en retour. Et pour ceux qui ne me respecte pas, mes réponses sont terribles. Je suis un grand aventurier, peu de chose me font peur... je dis peu car pour l'instant je n'ai rencontré aucune de ces choses bien qu'une nouvelle vient de faire son apparition : la peur de perdre Kate. Je relève tous les défis, j'aime savoir que je peux dépasser mes propres limites et j'accepte toutes provocations. Il est plutôt difficile de se décrire sois-même, on est jamais assez objectif pour oser dire tous ses défauts mais je pense que vous comprendrez assez bien mon fonctionnement en lisant mon histoire, même si je me plis au règlement.
Principales qualités : Je vais avoir l'impression de me vanter mais j'ai quand même beaucoup de qualité. Je respecte les autres, leurs cultures, leurs choix de vies... je ne juge pas sans connaître car on dit que les apparences sont trompeuse, pourtant on dit aussi que la première impression est là bonne. Un peu contradictoire je sais, il n'empêche que je suis plutôt sociable même si j'ai été longtemps seul, vivre en communauté ne me dérange pas vraiment. Je m'adapte au situation avec une facilité déconcertante et c'est sûrement une de mes plus grande qualité.
Principaux défauts : Je vais essayer d'être objectif... en fait non je n'arrive pas à me trouver de défaut. Un peu vieux jeu peut être? Je suis resté sur la guerre d'indépendance et je vais souvent des allusions ou jeux de mots dessus. Mais est ce qu'on peut classer cela dans les défauts? J'adore les défis et je les relève tous, même les plus absurde et cela pourrait un jour devenir dangereux pour moi, mais je sais faire attention à ce que je fais. Mes qualités complètes mes défauts sans difficulté.
Ce que vous aimez chez quelqu'un : Il suffit de regarder Kate et vous saurez tout. Elle a du caractère et ne se laisse pas marcher sur les pieds. Elle est drôle et gentille mais aussi sensible. Elle s'énerve très vite, peut être l'une des choses que je n'aime pas chez elle. En fait je ne suis pas très compliqué pour apprécier une personne même si il y a certaine chose que je ne peux pas supporter. Tant que la personne en face de moi respecte les autres et avant tout se respecte tout me convient.
Ce que vous détestez chez quelqu'un : Alors là il faut plus se tourner vers les Volturi pour vous montrer ce que je n'aime pas. Le manque de respect total qu'ils ont pour les gens, leur enlevant leur liberté avec des lois qui servent leurs intérêt. Ils ne recherchent que le pouvoir au dépend des autres vampires et je déteste cela par dessus tout. Nous sommes tous égaux avec ou sans pouvoir et le fait qu'ils se croient supérieur, se prenant pour les chefs de notre race, m'exaspère et me déplait fortement comme c'est le cas pour beaucoup de vampire.
Goûts : Vous savez que trop de description tue les descriptions? Si vous parlez des goût culinaire il va de soit que je bois du sang mais seulement du sang animal depuis que je vis avec les Denali. Si vous parlez des goûts vestimentaire peut m'importe et puis je pourrais porter n'importe quoi que les gens me verraient beau quand même. Tout ce que je demande c'est d'être à l'aise dans ce que je porte. Pour ce qui est des femmes les belles blondes comme Kate mais je ne regarde pas vraiment le physique, l'intérieur me suffit et puis toutes les vampires sont belles. De toute façon comme pour le reste, vous verrez bien quand je vous conterais mon histoire.
Un objet fétiche : Aucun, cela ne sers pas vraiment de s'accrocher à quelque chose de matériel.
Votre vie avant votre mutation : Mes parents faisaient partit des familles écossaises qui avaient immigré lorsque la Caroline du nord était devenu l’une des treize colonies de l’empire britannique, en 1730, bien qu’à l’époque ils étaient très jeune, des enfants… Ils c’étaient rencontrés dans un villages au pied des Appalaches et avaient grandit là-bas. C'était là que la plupart des familles c'étaient installés et ils vivaient tous leur petite vie paisible. Mes parents se marièrent dans ce même village mais ils ne voulurent pas s'installer et ils partirent vivre ailleurs. Ils ont déménagé à Wilmington en 1747 car cela faisait un bon bout de temps que les français et les anglais commençaient à se disputer l’Ohio et ils avaient sentit la guerre à plein nez, mieux valait s’éloigner de la chaîne de montagne et se rapprocher du bord de la mer. Ils s'installèrent et furent embauché par le propriétaire d'un hôtel pour gérer celui-ci. Je suis né en 1753 à Wilmington… Mes parents furent très heureux d'avoir un fils, c'était ce qu'ils voulaient tous les deux. J'étais leur premier enfant et ils me donnaient tout l'amour dont j'avais besoin. La guerre, que l’on appelle aujourd’hui la guerre de sept ans, débuta en 1756 même si elle avait commencé bien avant, je n'avais que trois ans et ne garde que très peu de souvenir de ce début de guerre. Je me souviens que toutes les colonies voulaient voir les français partir mais aucune ne fut capable de les déloger, la caroline du nord engagea seulement 100 miliciens, alors que certaines colonies ne firent rien. Pourquoi? Je n'ai toujours pas compris, peut être avaient-ils peur et c'était normal puisque cette guerre était considérée comme une guerre mondial... Il y avait l'empire britannique, la France, la Prusse et l'Autriche ainsi que d'autre pays mais les colonies ne bougeaient pas...
Ce ne fut qu’en fin 54, lors de la déclaration du duc de Newcastle, que les choses commencèrent enfin à bouger… Des régiments furent envoyés et on obligea les colonies à en envoyer aussi... Mon père fut enrôlé dans l'armée. Cela brisa le coeur de ma mère mais pour me nourrir elle continua de travailler. La guerre avait commencé plus tôt qu'on ne le croyait car en 1754, c'était les Américains — ceux de la Nouvelle-France et ceux des colonies britanniques — qui avaient commencé à se battre. En 1755, les métropoles, sous l'impulsion de l'Angleterre. Personne ne comprenait le sens de cette guerre mais il ne fallait pas prêter aux hommes d'État britanniques plus de lucidité qu'ils n'en avaient; il leur suffisait d'ailleurs d'en avoir plus que leurs adversaires, les politiciens français. Tout en utilisant le plus possible ses alliés en Europe, la Grande-Bretagne expédiait de nombreuses troupes régulières en Amérique; la France se dépensait sans compter en Europe alors qu'au Nouveau Monde elle laissait retomber le plus lourd du fardeau de la guerre sur les coloniaux. Bref… la guerre se termina en 63 et les britanniques ressortirent vainqueur. La caroline du nord ne fut pas touché par tout cela, mais j’en entendais parler tout le temps… Surtout que mon père était partit à la guerre et que ma mère en pleurait tous les jours… C’est pour ça qu’elle allait très souvent aux nouvelles. Moi, je vivais ma vie d’enfant, je me fichais de cette guerre, même si mon père me manquait j'avais moins de dix ans et tout cela me dépassait. Il revint tout de même à la maison et bien vivant… la vie pouvait reprendre son cour normal...... enfin si on pouvait appeler cela comme ça.
Mon père devint propriétaire de l'hôtel après le décès de l'autre. Il l'avait racheté avec l'argent gagné en étant soldat. Le commerce marchait plutôt bien… du moins pour l’époque puisqu’on ne vivait pas de grand-chose mais on faisait aussi restaurant alors on avait pas que les clients de l’hôtel. Moi j’étais encore un gamin et j’aidais mes parents, j’étais en cuisine ou à la vaisselle et je débarrassais les tables. J’avais une petite vie tranquille… des parents aimant, pas de frère et sœur pour me piquer l’amour que je recevais. Mais plus je grandissais et plus je sentais les tensions qui étaient en train de se créer… Je n’étais plus un enfant, j’avais 15 ans et dans le temps c’était l’âge où le gamin se transforme en homme. Plein de chose avait changé, je n’étais plus rejeté des discussions d’adulte… Et dans ces discussions on parlait de deux choses : La première était les femmes. Je commençais à avoir les hormones qui me travaillait, à avoir mes premières envies surtout quand il s’agissait de la fille de la voisine, Rosy. C’était incroyable ce qu’elle était belle. La deuxième chose, c’était les colonies et la politique qui oppose les colons et leur métropole, dues aux divergences d'intérêt et à la politique impérialiste britannique. Les britanniques font des lois, augmentent les impôts.. Ils n’obtiennent rien d’autre que des émeutes et des révoltes mais rien d’inquiétant pour la métropole, du moins pour l’instant.
Moi, je voulais que la Caroline du Nord se bouge un peu… c’était la seule colonie qui n’avait pas provoqué d’émeute inquiétante ou autre. Aucune organisation n’était mise en place pour la rébellion alors qu’on entendait parler des fils de la liberté de partout. Moi j'aurais bien voulu mettre tous ça en place mais je ne pouvais pas, je n'avais ni les moyens, ni la réputation pour cela même si on me considérait comme un aventurier déjà à ce moment là. Petit à petit tout cela se forma, les fils de la liberté montèrent un système de communication entre les treize colonies, organisant des rencontres entre des députés et celle qui a fait tout basculé ça a été le premier congrès continental en 74. Cette rencontre était totalement illégal pour les britanniques mais les collons commençaient à avoir leur propre politique… La guerre fut déclaré en 75 et les colons non loyaliste furent appelés les insurgents et moi en attendant, je tentais de me rapprocher de Rosy mais c’était difficile. Dès qu’elle me croisait, je ne pouvais plus détourner mon regard d’elle, et je lui disais bonjour avec un sourire niais qui me faisait ressembler à un imbécile mais petit à petit je m’approchais d’elle et lui parlais. Puis de fil en aiguille, on ne faisait plus que parler et notre relation avait évoluer comme je l’avais toujours voulu. Nous n'étions plus de simple amis et moi, je devenais un vrai homme...
Le 4 juillet 1776 le congrès continental adopta la Déclaration d’Indépendance des treize colonies d'Amérique du Nord et là il fallait vraiment choisir son camp… Il y avait les patriotes qui étaient pour l’indépendance, les loyalistes qui étaient contre et puis les neutres. Mes parents insistèrent pour que l’on reste neutre mais moi je n’avais pas envie de rester neutre, je voulais l'indépendance. Pour une fois qu’il y avait la guerre et que j’avais l’âge d’y participer. J’avais 23 ans et l’envie d’aventure dans la peau, pourquoi rester dans un hôtel alors que l’ont pouvait partir à découverte du monde? Je partis donc de la maison, déterminé à faire sortir les Loyaliste et les britanniques des colonies américaines. J’ai participé à plusieurs batailles, certaine glorieuses, d’autre non comme la bataille de Brandywine… nous n’étions que onze milles contre seize milles et gagner avait été impossible mais j’étais en vie et décidé à continuer, surtout qu‘on apprit qu‘on avait gagné les britanniques à Saratoga. Les français rejoignirent notre cause et on arriva à reprendre Philadelphie puis on remporta une bataille à Monmouth en 1778 alors que la guerre se propageait désormais dans les colonies du sud
Un soir, en 79, alors que je faisais partit d'un campement de soldat à la lisière d’une forêt, j’ai aperçu quelque chose à l’intérieur de celle-ci. Je croyais d’abord à un ennemi espion et je décidais de le suivre pour lui montrer qu’on espionnait pas notre campement. Je me suis donc dirigé vers la forêt pour poursuivre ce type mais il allait vraiment trop vite, il essayait de m’échapper. Je courais pour le rattraper puis je l’ai perdu de vu… j’ai tourné sur moi-même pour tenter de le voir mais entre la nuit et les arbres je ne voyais rien. Soudain j’ai entendu un bruit derrière moi comme si quelqu’un était passé à toute vitesse, je me suis retourné pour voir mais il n’y avait personne… Pendant plusieurs minutes j’avais cette impression qu’on me tournait autour mais il n’y avait jamais personne et la peur commençait à m’envahir petit à petit. Cette impression que quelque chose se passait et de ne pas savoir quoi, je détestais ça. A un moment quelque chose me poussa contre le tronc d‘un arbre, j’avais été envoyé si fortement que cela ne pouvait pas être humain. J’étais seul et je ne savais pas ce qui m’attaquait, je fis ce que toute autre personne aurait fait à ma place : j’ai me mis à courir. Je courais aussi vite que je pouvais, ordonnant à mes jambes d’aller toujours plus vite. L’instinct de survit semblait me donner des ailes, je n’étais jamais allé aussi vite. Je zigzaguais entre les arbres, tournant et retournant… je sentais que la chose me poursuivait et qu’elle ne me laisserait pas tranquille avant de m’avoir eu…
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| | Sujet: Re: Garrett Denali [en cour] Sam 14 Fév - 15:39 | |
| Votre vie après votre mutation : Je courais toujours, j'étais à bout de souffle et mes jambes ne répondaient plus de rien... j'étais épuisé mais je savais que si je voulais survivre il ne fallait pas s'arrêter. Il ne faudrait jamais s'arrêter. Dans quel galère je m'étais encore mise? Je n'en savais rien mais j'avais la sensation de participer à une partie de chasse sauf que c'était moi que l'on chassait. Cette pensée me fait bien rire maintenant, je ne connaissais rien à la chasse mais j'en étais persuadé sur le moment et je ne me trompais pas. Je voulais absolument lui échapper mais le destin en avait choisit autrement et je me sentis plaqué à terre par une force énorme. Si violemment que je sentis ma mâchoire se casser sur le sol et mes poumons s'écraser sur eux même... Je n'avais pas encore sentis les crampes qui c'étaient attaquées à mes jambes mais maintenant que je ne courrais plus elle me faisait atrocement souffrir. Je ne pouvais pas me retourner, celui qui m'avait poursuivi était sur mon dos et m'écrasait la colonne vertébrale au passage. Je sentis quelque chose transpercer ma peau, c'était lisse et froid, des dents... on venait de me mordre. Je ne compris rien sur le moment et toute sorte d'explication illogique traversa mon esprit. J'avais bien une idée de ce que cela pouvait être mais je n'y avait jamais cru, pourtant c'était bien cela. J'avais envie de crier, de demander de l'aide mais ma mâchoire me faisait trop souffrir et puis qui m'aurait entendu?
Je sentais qu'il me vidait doucement de mon sang, se régalant à chaque nouvelle gorgé, se nourrissant de moi et je commençais à accepter l'idée que j'allais mourir. En même temps, je brûlais de l'intérieur, quelque chose envahissait mon corps et me faisait horriblement souffrir mais je ne pouvais pas crier, le bout de mes doigts était devenu froid et je ne sentais plus mes pieds, comme si je n'avais plus assez de sang pour qu'il aille jusque là. Pourquoi je n'étais pas venu avec plus d'hommes? Ils ne semblaient même pas avoir remarqué mon absence et je me demandais si je ne m'étais pas trop enfoncé dans la forêt. Mais même si l'idée que le campement ne se souciait pas de moi était ancré dans mon esprit ce n'était pas le cas. Des voix lointaines se firent entendre ainsi qu'un coup de feu. L'espoir commença à renaître en moi et les dents du vampire sortir de mon cou. Il fallait que j'accepte que ça existait et puis j'étais sur le point de mourir, les visions de ce à quoi on croyait changeait. Je pensais que les vampires n'existaient pas et la mort viendrait bientôt me prouver le contraire et me faire payer mon manque d'ouverture d'esprit. Je l'entendis partir, écrasant les feuilles un instant pour disparaître en silence dans la forêt... j'entendais aussi les hommes passer tout près de moi mais je n'avais pas assez de force pour les appeler, je le voulais, mais aucun son ne sortait de ma bouche.
Je brûlais toujours de l'intérieur, j'avais l'impression que ma tête allait exploser et je sentais chaque parcelle de ma peau, de mon corps, devenir de plus en plus chaude. Je crus un instant que j'allais prendre feu mais cela n'arriva pas. Je me secouais, la douleur me provoquant des spasmes tandis que je ne savais toujours pas ce qu'il m'arrivait. Si, au fond je le savais, c'était même clair, chaque atome de mon anatomie me criait ce en quoi je me transformais. J'étais en train de devenir comme celui qui m'avait attaqué, j'étais en train de devenir un vampire... Tout changeait en moi, je sentais même ma mâchoire se remettre en place d'elle même dans une douleur presque insupportable, tellement forte qu'elle m'empêchait de crier. Au bout d'un certain temps, je n’avais pas compté, je devins immobile. Non pas que la douleur s’arrêta, mon corps me brûlait toujours autant et la douleur était encore plus forte quand je bougeais. C’était comme-ci je m’habituais, c’était un sentiment inexplicable, j’avais compris qu’il fallait que je laisse faire la douleur, le venin… il ne fallait pas que je luttes. De toute façon la transformation était inévitable alors pourquoi lutter. J’étais allongé, la tête sur le côté, immobile, les yeux ouvert ne clignant pratiquement jamais. Si quelqu'un était passé par là, il aurait sûrement cru que j'étais mort et m'aurait laissé là. J'étais si faible, cette douleur, cette transformation m'enlevait toutes mes forces.
Je sentais trop de chose en moi, ma peau devenait blanche, si blanche... comme si la lumière du soleil ne l'avait jamais atteinte et froide comme si je sortais d'un lac du canada en plein hiver. Mes sens aussi se développaient, des odeurs bizarres m'arrivaient au nez, certaines m'extasiaient, d'autres m'auraient fait fuir, l’une d’entre elle m’attirait particulièrement mais je ne pouvais bouger, pas maintenant. Je pouvais aussi sentir chaque brindille sous mon dos, j’aurais même put dessiner la forme des feuilles que j’écrasais, mon toucher devenait fin et aiguisé… tout comme mon ouïe, j’entendais tout… même les insectes se faufiler entre la terre, chaque coup de vent qui faisait tournoyait les feuilles, les animaux passer. Tout semblait être amplifié dans mes oreilles et à chaque seconde qui passait je prenais conscience de toutes ces nouveautés… et il y eut beaucoup de seconde. Tout cela dura trois jours, trois jours à être immobile, trois jours à ne rien faire, même pas penser. Trois jours à me sentir transformer à jamais, je sentais que je devenais plus fort et je n’étais même pas fatigué malgré tout ce qui c’était passé. J’avais l’impression d’être jeune, je l’étais déjà, mais je savais aussi que la nouvelle vie qui m’était donné était éternelle, est-ce que cela me plaisait ou non? Je ne savais pas vraiment, je ne pouvais pas y échapper alors je vivrais avec.
Le troisième jour, je senti enfin que ma transformation était terminé… la douleur avait disparut et c’était comme si je venais de renaître, encore un sentiment que je ne pouvais exprimer. Je me mis en position assise et me relevai avec l’aide de mes mains. Je passai celle-ci sur ma mâchoire, elle m’avait tellement fait mal que je me demandais si je pouvais encore parler mais la question ne se posait même pas, elle était bien remise en place et en bon état. Je me mis à marcher, profitant de ces nouvelles jambes. J’avais l’impression que je pouvais marcher des kilomètres sans m’épuiser, j’avais même envie de tester et je me suis dis que traverser la forêt serait une bonne chose à faire. Quelques minutes passa quand une odeur m’arriva aux narines… elle était tellement… Mon instinct voulait la suivre et je ne pouvais résister à mon instinct. Je me mis à courir, en fait je faisais bien plus que courir, je sautais, je m’aidais des arbres et je courrais très vite, si vite que je ne voyais plus le paysage défiler devant puis je m’arrêtai. Un homme, seul dans la forêt, c’était lui qui dégageait cette odeur si agréable, une odeur de nourriture, et il fallait dire que j’avais soif. Tous ces changements en moi m’avaient donné très soif et ce que je m’apprêtais à faire me semblait tout à fait normal, comme si je l’avais fait toute ma vie. L’homme c’était arrêté et me regardait, dans ces yeux je pouvais lire la peur avec un mélange de curiosité… il se demandait évidemment qui j’étais et ce que j’allais lui faire. Il y avait encore quelques jours c’était moi qui était à sa place sauf que moi, je ne le laisserais pas se transformer. Je lui bondis dessus et enfonça mes dents dans son cou puis j’aspirai la première gorgée, je l‘avalai avec un sentiment de délivrance et d‘extase. Je ne me contrôlais plus, et même si j’avais voulu m’arrêter je n’aurais pas put, c’était tellement bon, je sentais que chaque nouvelle goutte de son sang dans mon corps me donnait des forces. J’étais en transe, tout ce qui m’entourait, c’était comme si ça n’existait plus et seul le battement de cœur de ma victime, qui devenait de plus en plus faible, arrivait jusqu’à mes oreilles. Il ne me fallut que quelques minutes pour être rassasié et l’avoir vidé de son sang… je lâchai son corps qui tomba au sol, inerte. J’essuyai ma bouche, tremblant encore d’excitation à l’odeur et au goût du sang, je ne pouvais nier l’évidence, il n’y avait que de ça dont j’avais vraiment envie de me nourrir.
Et maintenant qu’est-ce que je pouvais faire? Retourner dans la société humaine n’était pas possible à moins de vouloir faire un carnage mais je ne voulais pas abandonner la guerre. Et alors quoi? J’allais tout simplement me nourrir du sang ennemi pour aider mes compatriotes à gagner la guerre? Pourquoi pas… après tout je n’avais pratiquement pas d’autre choix, errer. D’un côté j’avais toujours été un peu solitaire et aventurier, peut être que cette nouvelle vie était simplement la chance de partir à la découverte du monde et de voyager sans aucune contrainte mais pour l’instant la guerre était toujours là et je faisais en sorte que les colonies soient une bonne fois pour toute indépendantes. Quand la guerre fut finit je me décidai enfin à voyager ailleurs mais d’abord il y avait une personne que je voulais revoir, juste son visage, une personne dont je me souvenais de ma vie passé et je suis retourné à Wilmington pour revoir donc Rosy. Le voyage me paraissait bien moins long que lorsque j’étais partit, sûrement parce que j’étais beaucoup plus rapide et endurant qu’avant et cela me plaisait beaucoup. J’arrivai enfin à la ville mais je ne voulais pas y entrer, je ne me contrôlais pas assez je le savais, du moins pas assez pour me promener au milieu d’une bande d’humain qui me donnerait envie de boire. Je me plaçai donc assez loin, observant la vie de la ville, la cherchant des yeux quand soudain je l’aperçus et son regard se posa sur moi. Elle avait l’air d’avoir vu un fantôme, cela faisait tellement longtemps tout le monde avait du croire que j’étais mort. Elle se dirigea vers moi et je reculai dans la forêt, je ne voulais qu’on nous voit de la ville, cela pourrait tourner mal. Je la vis pénétrer dans la forêt et s’approcher de moi d’un air pâle mais heureux. Elle m’expliqua que tout le monde me croyait mort et qu’ils seraient tous heureux de me savoir vivant mais je n’écoutai ses paroles qu’à moitié. Son odeur m’enivrais trop et je ne pus résister. Je lui répondis que je ne comptais pas revenir tout en m’approchant d’elle. Je posai ma main sur son cou, elle ne se méfiait pas, déjà avant j’avais l’habitude de faire ça… mais elle ne c’était pas attendu à me voir planter mes dents dans son cou, le vidant elle aussi petit à petit de son sang. Je ne l’avais pas vraiment voulu mais c’était plus fort que moi, je ne pouvais pas résister à cette odeur et quand elle m’arrivait au narine ma gorge devenait sèche et me brûlait. Il fallait que je boives et elle mourut à son tour.
Je la regardai à peine, là, son corps étendu sur le sol... Elle serait sûrement découverte dans la journée car Rosy n'avait pas l'habitude de s'absenter longtemps. Il fallait que je parte, le seul fait de savoir que je pouvais faire du mal à mes parents, mes anciens amis... je ne le voulais pas. Rosy serait la seule victime que je connaissais, la seule. J'avais en tête de voyager, de partir en Europe et dans d'autre contré dont j'avais entendu parler. Améliorer mes connaissances sur le monde et ses cultures... Voilà ce qui me ferait plaisir. Je partis donc en Europe et en fit le tour. Paris, Londre, Rome... Je croisai quelques vampire mais aucune confrontation grave, mon but n'était pas de me battre loin de là. J'appris donc l'existence du Clan Volturi qui était une sorte de police des vampires et les règles qu'il fallait respecter. Pour moi elles étaient déjà de toute logique... j'avais remarqué ce que je devenais au soleil et je ne sortais jamais quand il y en avait. Pour les enfants éternels aussi, ils étaient interdit, quoi de plus normal, un enfant est capricieux et n'en fait qu'à sa tête alors si en plus il a le pouvoir de tuer... Je me dirigeai vers la Russie, pourtant c'était la guerre là-bas mais je m'étais déjà battu pour une cause, les nouvelles guerres humaines ne m'intéressait pas. Elle me permettait juste de me nourrir sans être remarqué et c'était pour cela que les lieux de bataille m'attirait particulièrement. La chine, l'inde, l'Afrique... j'avais l'impression que le monde était à moi et c'était à moitié vrai. A part les territoires des autres vampires qu'il fallait éviter, je ne me privais de rien. Évidemment que je n'ai pas visité tous les pays, seulement ceux qui m'intriguait le plus et puis je m'étais lancé le défi de voir si le sang humain avait le même goût partout... Et bien quoi? Qui peut dire si un Égyptien à le même goût qu'un Français? Mais moi maintenant je peux vous le dire, ils ont tous le même goût exquis et je me suis régalé de partout. C'est vers le milieu du vingtième siècle que je décidai de rentrer en Amérique. Ma terre natale me manquait et elle avait bien changé depuis mon départ. Wilmington était devenu une bien plus grande ville et mes parents étaient décédé... comme tous les autres. Bien d'autre état avait vu le jour et le pays était vraiment indépendant. J'avais ma place ici, même si au fond je n'étais chez moi nulle part c'était bien en Amérique que je voulais vivre et rester.
Dernière édition par Garrett Denali le Lun 16 Fév - 23:26, édité 3 fois | |
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| | Sujet: Re: Garrett Denali [en cour] Sam 14 Fév - 15:40 | |
| Je parcouru le pays, d'état en état, ne restant jamais bien longtemps au même endroit... me faisant des parties de chasses assez intéressante, me lançant des défis à moi-même parfois. Ma vie était assez calme au fond, à part quelques rencontres, je n'avais pas à me plaindre. on, il m'était bien arrivé de me battre évidemment, quel vampire ne l'avait pas fait? Mais j'étais un nomade et j'avais donc la vie d'un nomade... Un jour cependant je reçu une visite qui m'intrigua et à l'époque il allait de sois que je ne savais pas qu'elle allait changer ma vie. J'étais en train de voyager quand je rencontrai deux vampire, je les avais sentis mais je savais qu'ils s'approchaient et je voulais savoir ce qu'ils me voulaient. Ils ne me voulaient pas de mal c'était déjà ça, c'était un couple de vampire, Rosalie et Emmett du clan Cullen. Une chose m'étonna directement chez eux, ils n'étaient pas comme les autres vampires... ils avaient les yeux d'une couleur orangé. Je n'avais jamais vu ça et je me demandais comment c'était possible. Ils m'expliquèrent qu'il y avait une discorde entre les Volturi et leurs clans à cause d'une enfant. Les volturi pensaient que c'était une enfant immortelle mais les Cullen criait que ce n'était que le fruit d'un amour entre un vampire et une humaine. Ca aussi je me demandais comment c'était possible... Toute cette curiosité me poussa à accepter de me rendre chez eux pour témoigner en leurs faveur. Quand j'arrivai là bas il y avait déjà pas mal de vampire présent, prêt à se battre pour ce clan si étrange. Je découvris qu'ils se disaient végétariens parce qu'il ne se nourrissait que de sang animal et vivait au milieu d'humain ce qui expliquait la couleur de leurs yeux. Je fit aussi la connaissance des sœurs Denali, un autre clan qui avait le même régime, et l'une d'entre elle m'interpella en particulier : Katrina. Sa beauté et son caractère me fit de suite tomber sous son charme et je discutai souvent avec elle, la questionnant sur le régime "végétarien". Je passai quelques jours chez eux et rencontrai la petite Renesmée, on pouvait voir que ce n'était pas une enfant immortelle et je croyais sur parole les Cullen, d'autant plus qu'elle était née en septembre et, alors que nous n'étions qu'en janvier/février, elle semblait avoir déjà quelques années. Sa mère, Bella, était une nouvelle-née... heureusement qu'ils l'avaient transformé car peu de vampire aurait résister à la mordre si elle avait été encore humaine. La jeune vampire n'avait qu'une obsession, contrôler ses pouvoirs au cas où les Volturi ne renoncerait pas malgré tous les témoignages. Je me proposai pour lui donner quelques leçons et elle avait l'air d'apprécier ces séances et ma présence ce qui me flatta. Un jour je me portai même cobaye pour que Bella étende son bouclier jusqu'à moi. Pour cela Zafrina me rendit aveugle... ce fut une très étrange sensation!! J'étais vraiment plein de curiosité envers tous ces pouvoirs différents vu que je n'en avais pas et c'était surtout pour cela que j'assistais aux entrainements de Bella.
Une que je n'avais pas encore vu utiliser ses pouvoirs était Kate et ce fut après cet entrainement qui m'avait enlevé la vue que je l'interpella. Edward capta mes pensées et me dit qu'il valait mieux que j'évite mais je voulais savoir et son pouvoir ne me faisait pas peur. C'était vrai, on m'avait dit qu'elle pouvait renverser un vampire mais je trouvais cela un peu gros, il fallait que j'en sois sûr. Elle me proposa de faire un test... je me demandais si elle serait vraiment capable et me mettre KO et j'acceptai. Elle tendit la paume pour m'inviter et je posa mon index sur celle-ci tout en souriant de ce nouveau défi. La douleur fut immense... je ne pus me retenir de flancher les genoux, ni de crier. Je fus propulsé en arrière et ma tête heurta un rocher, le mettant en miette. La décharge électrique m'avait complètement maîtrisé. C'était donc vrai, elle pouvait renverser un vampire... Edward me murmura qu'il m'avait bien prévenu mais j'étais bien content de ne pas l'avoir écouté et d'avoir vécu ça. Je ne put m'empêcher de murmurer un "wouah" tout en arborant un sourire intrigué... Kate se moqua de moi, me demandant si cela m'avait plu. Il ne fallait pas non plus me prendre pour un masochiste, non cela ne m'avait pas vraiment plu mais j'étais tout de même ravi d'avoir vécu une telle expérience. Cela me donna envie d'en faire d'autre et un soir, alors que tous les vampires allaient s'éloigner pour chasser, je demandai à Kate si je pouvais venir chasser avec elle. Elle comprit de suite que je voulais tester le sang animal, ce que je n'avais jamais fait jusqu'à maintenant et elle accepta. La partie de chasse fut assez marrante, c'était aussi la première fois que je chassais avec un autre vampire, j'étais toujours seul d'habitude. Quand j'eus finis de me nourrir je pus faire la conclusion de ce mode de vie. Déjà, le goût n'était pas du tout le même, le sang animal était beaucoup plus fade que celui des humains... on ne se sentait pas rassasié après et j'avais presque envie de partir pour combler la fin de ma soif mais je rentrais avec Kate pour débattre de tout cela. Je compris que la vie des Denali et des Cullen était très dure et pleine de sacrifice et je les comprenais mieux à présent.
Le jour attendu arriva enfin... les Volturi. Je ne les appréciais déjà pas... toute leur garde était réuni et même leurs femmes étaient venu pour assister au spectacle. Elles n'allaient pas être déçu car nous ne comptions pas nous laisser faire. La discussion s'engagea et ils furent bien obligé d'admettre que Renesmée n'était pas une enfant immortelle mais une mi-humaine, mi-vampire ce qui, pour eux, n'était pas tolérable non plus. La première chose qu'ils firent fut de tuer Irina pour leur avoir donné de mauvaise information. Je vis clair dans cet acte qui n'avait comme but que d'obliger certain d'entre nous à attaquer. C'est ce qui faillit se passer à cause de Tanya et Kate... la douleur de cette perte leur fit perdre le contrôle. Tout d'abord Tanya se dirigea vers les Volturi mais elle fut stopper par Edward et Carlisle. Je vis aussi Kate foncer, Rosalie essaya de l'arrêter mais elle fut électrocuté, la même chose pour Emmett. Je ne pouvais pas la laisser entamer le combat et ainsi tous nous tuer... je courus dans sa direction et l'attrapa, la maîtrise par derrière, bloquant ses bras dans mes mains. Elle m'envoya une décharge qui aurait put me mettre KO mais la volonté était là et je ne lâcha pas prise... je ne voulais pas la voir tué par les Volturi, il fallait que je tiennes. Carlisle demanda l'aide de Zafrina qui rendit les deux vampires aveugles, Bella étira son bouclier jusqu'à moi et je retrouvai ainsi tous mes esprits. Je ne la lâcha pas de suite mais attendis qu'elle se calme et je lui parlai, lui expliquant que c'était tout ce qu'ils attendaient. Carlisle faisait pareil avec Tanya, il fallait à tout prix les calmer. Quand ce fut le cas je la lâchai enfin mais restai prêt d'elle quand même. La discussion pour savoir si Renesmée devait vivre ou mourir continua donc et je me lançai dans un discours dénonçant les Volturi comme jamais, et clamant l'identité des Cullen et des Denali, leurs vies de sacrifice et leur sens de la famille qui n'avait pas d'égal. Je m'étais adressé au témoin, aux anciens, défendant une cause qui semblait au début perdu. Mon discours toucha les esprits tout de même et malgré les moqueries d'Aro à la fin, dut à ma dates de naissance, je ne baissai pas les yeux. Certains témoins donnèrent leurs avis avant de partirent, d'autre restait là, ne sachant que faire. La confrontation serait inévitable et, alors que tout semblait perdu et que nous nous préparions à nous battre, j'annonçais enfin à Kate que je la suivrais au bout du monde, si tout te fois nous survivions mais je l'espérais bien.
Le combat n'eut en fait pas lieu... effectivement Alice et Jasper, les derniers membres de la famille Cullen qui n'avait pas été là, arrivèrent accompagné d'un autre hybride exactement comme Renesmée. Il expliqua comment elle allait grandir et surtout elle fit comprendre aux Volturi qu'elle n'était pas dangereuse. Cette fois-ci, ils n'avaient plus d'excuse pour attaquer ce qui ne semblait pas les arranger même si ils tentèrent de faire bonne figure. Nous avions gagné sans même nous battre et c'était la plus belle des victoires. Le bonheur nous remplit et je ne pus m'empêcher de prendre Kate dans mes bras, la faisant tourner avec moi. Les départs suivirent cet évènement... chaque vampire reprit sa route, certain plus tard que d'autre. La famille Denali fut la dernière à partir, moi avec eux. J'avais dit à Kate que je la suivrais où elle voudrait et j'intégrai donc la famille. Je repartis avec eux, gardant un bon souvenir de toutes ces rencontres. Évidemment partir avec eux signifiait aussi abandonner ma vie de nomade buveur de sang humain. Je comptais bien devenir végétarien et adopter ce mode de vie. J'eus beaucoup de mal à m'adapter, déjà au fait de résister au sang humain, je les évitais au maximum... la moindre odeur d'humain qui m'arrivait au narine me rendait incontrôlable et heureusement que les décharges de Kate étaient là pour me calmer et me maîtriser dans mes moments de folie. Autre chose que j'ai eu un peu de mal à supporter... je suis un voyageur, j'ai toujours vécu en nomade. Non ce n'est pas le fait de vivre avec 4 autres vampires qui me dérange... je les considère désormais comme ma famille, mais c'est surtout le fait de vivre toujours au même endroit. De temps en temps il fallait que je parte voyager, que je change d'endroit et que je reprenne mes aventures pendant une semaine ou deux.
A part ça je n'ai pas vraiment eu de mal à m'intégrer au clan, cela fut plus difficile quand les Cullen nous rejoignirent. Je n'avais eu aucun mal à résister à l'odeur de Renesmée quand j'étais partit les aider mais quand on arrête d'un coup on est comme un nouveau né, incontrôlable. Au début j'eus vraiment du mal à m'habituer à son odeur mi-humaine mais Jasper utilisait son pouvoir pour m'éviter de perdre le contrôle et puis quand elle était trop près j'arrêtais de respirer puisque ce n'était pas nécessaire pour vivre... c'était certes désagréable mais supportable quand même. Au fil des années je me contrôlais de mieux en mieux et je pouvais même aller dans des lieux humains, alors qu'avant j'aurais fait un carnage. Pour ce qui est de Nessie son odeur ne me dérangeait plus du tout et je ne pourrais lui faire du mal. Nous étions comme une grande famille et, même si j'avais besoin de quelques escapades pour respirer un peu seul, j'aimais cette situation. Un peu plus tard je demandai Kate en mariage et elle acceptait... Nous n'en avions pas vraiment besoin pour être heureux mais j'avais envie qu'elle devienne officiellement ma femme ce qui se passa.
La vie continua et, cinquante années après les fait, les Cullen décidèrent de repartir à Forks, nous laissant tous les cinq dans notre parc National Denali qui avait l'air bien vide sans la grande famille. Notre vie ne changea pas pour autant et nous restions au même endroit... Au niveau de Forks, nous apprîmes que beaucoup de chose avait changé... Plus de loup-garou et un autre clan de vampire qui eux étaient homnivore. Nous savons pertinemment que cela entrainera une guerre de territoire entre les Cullen et le nouveau clan et si besoin est, les Denali répondront présent pour la bataille comme cela à toujours été le cas.
Relations :
Je m'entend très bien avec tous les membres de ma famille, que se soit du côté des Denali ou des Cullen. Moi qui était très solitaire avant de les rencontrer je ne me lasse pas de vivre avec eux... Depuis que les Cullen sont repartit à Forks cela fait très vide dans nos vies mais j'ai comme le sentiment qu'on va vite les rejoindre à Forks... Nous attendons juste qu'ils nous appellent. Pour ce qui est de Kate mon amour pour elle est toujours comme au premier jour et sa présence est réconfortante pour moi.
Je m'entend bien avec les vampires homnivores tant qu'ils ne s'en prennent pas à ma famille et qu'ils restent dans leurs territoires... c'est d'ailleurs pour ça que je déteste les Volturi et le nouveau Clan de Forks.
Comment réagissez-vous face aux humains : J'arrive à me contrôler maintenant, tant qu'il n'y a pas trop de sang ou bien une odeur pas trop forte. Quand je vais au milieu d'humain c'est toujours accompagné par Kate car je suis extrêmement calme en sa présence... Seul je ne sais pas si je pourrais me contrôler.
Noir ou blanc ? Noir
Parfum préféré ? Chocolat
Série télévisée préférée ? Doctor Who
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Goûts musicaux ? Electronic et Hip hop
Genre de garçons/filles ? Tant qu'il est beau on s'en moque
Sociable ou solitaire ? Sociable dans un genre bizarre
Méfiant ou confiant ? Méfiante
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Nationalité : Française
Où avez-vous connu le forum ? Sur le top site twilight (ou vampire je sais plus)
Votre avis, des trucs à améliorer ? Bah j'ai déjà dis qu'il manquait les Denali mais maintenant plus rien.
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Dernière édition par Garrett Denali le Mar 17 Fév - 14:13, édité 4 fois | |
| | | | Bella Cullen
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| | Sujet: Re: Garrett Denali [en cour] Sam 14 Fév - 16:02 | |
| Bienvenue parmis nous Garrett =) | |
| | | | Jun Yajima
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| | Sujet: Re: Garrett Denali [en cour] Sam 14 Fév - 16:37 | |
| Daivd Tennant  Pardon... Bienvenue et Bonne continuation pour ta fiche | |
| | | | Alice Cullen
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Citation : ... An another story begin ...
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| | Sujet: Re: Garrett Denali [en cour] Dim 15 Fév - 20:59 | |
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| | | | Garrett Denali
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| | Sujet: Re: Garrett Denali [en cour] Lun 16 Fév - 23:36 | |
| Merci à vous pour l'accueil ^^ J'ai un peu continué la fiche, si vous trouvez l'histoire sur un autre forum c'est normal, c'est aussi moi!!  Je sais que le dernier paragraphe de l'histoire n'est pas bon, je l'éditerais pour l'adapter à l'histoire demain ^^' Ce soir je n'avais que la force du copié collé  | |
| | | | Heather C. Lewis
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| | Sujet: Re: Garrett Denali [en cour] Lun 16 Fév - 23:55 | |
| Au passage bienvenue !  | |
| | | | Jacob Black
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| | Sujet: Re: Garrett Denali [en cour] Mar 17 Fév - 1:02 | |
| OK pour l'histoire ^^
Pense aussi au test Rp
Et pour le Code je peux juste te dire que c'ets une phrase qui n'a ni queue ni tête pour son paragraphe. | |
| | | | Renesmée C. Cullen
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| | | | | Jun Yajima
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| | Sujet: Re: Garrett Denali [en cour] Mar 17 Fév - 13:19 | |
| Le code est bon ^^
Maintenant manque plus que le test RP pour être validé. | |
| | | | Edward Cullen
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Citation : even eternity is not enought;
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| | Sujet: Re: Garrett Denali [en cour] Mar 17 Fév - 14:03 | |
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| | | | Garrett Denali
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| | Sujet: Re: Garrett Denali [en cour] Mar 17 Fév - 14:14 | |
| J'ai édité l'histoire XD Et comme en fait j'ai pas assez de place pour le rp je le met ici ^^ Nessie j'aime le personnage de Garrett donc pour moi une histoire comme ça est normal ^^ Edit : en fait écrire cette histoire m'a prit deux semaines mais je pense que je pouvais pas faire plus court XD... Et par contre le fait que tu me dises que le résumé de son passage dans révélation est bien ça me touche. Surtout quand on sait que je ne l'ai jamais lu XD. Mais pas de soucis je suis au point sur l'histoire :p ![Garrett Denali [en cour] Normal10](https://i.servimg.com/u/f63/11/23/55/58/normal10.jpg) Le Stress... voilà le sentiment qui m'envahissait à cette minute précise. Non, en réalité, je ne tenais plus en place depuis déjà quelques heures. Depuis que j'avais dis à Kate de me rejoindre au bord du lac Wonder je ne savais plus quoi faire et elle avait dut se douter que je n'étais pas dans mon état normal. Le lac Wonder était un lac du park national Denali... on se demande pourquoi la clan vivait là et d'où il tirait son nom. C'était sûrement mon lac préféré, il y avait une vue magnifique et c'était pour cela que j'avais demandé à Kate de venir m'y rejoindre pour le coucher de soleil. Peut être pensait elle que je ne voulais que profiter du paysage, seul avec elle. Si c'était cela elle était bien loin du compte. Moi qui d'habitude n'avait pas peur de grand chose, là j'étais pratiquement terrifié et j'avais beau me dire que c'était comme un nouveau défi cela n'y changeait rien. Après tout, une demande en mariage ce n'était pas rien, mais je me sentais prêt, j'avais envie que Kate devienne ma femme car même si nous étions ensemble, ce n'était pas pareil. Je tournais en rond, me faisant plein de scénario de la scène pour ne pas être prit au dépourvu. Je m'agenouillai par terre, en plein entrainement de ma demande:
"Kate... veux tu m'épouser?"
Je me relevais, en colère de cette demande pitoyable. Veux tu m'épouser? Quel phrase débile tout de même... je me réagenouillai, prêt à recommencer:
"Kate... veux tu devenir ma femme?"
Non, cela n'allait pas non plus... ces deux phrases étaient bien trop banale pour Kate, elle méritait mieux que ça mais mon imagination me faisait défaut, je n'arrivais plus à penser à rien. Enfin si, mon cerveau était encore assez actif pour imaginer qu'elle me dirait non. Pourquoi me dirait-elle non? Quels étaient les raisons qui pourraient excuser un refus? Qu'elle ne soit pas prête peut être, quoi que non Kate était toujours prête... ou bien alors que c'était trop tôt mais notre relation avait débuté si vite et si fortement que cela ne pouvait pas être trop tôt. Je marchais en rond, me voir moi même dans cet état me surprenais, je ne perdais que rarement le contrôle de moi même mais je n'aimais pas ne pas savoir, et je devenais de plus en plus impatient mais en même temps j'avais envie de retarder le moment le plus loin possible. Comment était ce possible d'avoir tant envie, et en même temps non? Je ne me comprenais plus moi même... je sortis la boite noire et carré qui se trouvait dans ma poche et l'ouvris. A l'intérieur de trouvait une bague que j'avais faites faire sur mesure pour Kate et qui m'avait coûté... mieux ne valait pas le dire... L'anneau était fin et en or, il était orné d'une pierre précieuse, et pas n'importe laquelle. C'était une alexandrite tout droit arrivé de Russie, une pierre encore plus précieuse que le diamant, moins que le rubis certes mais le rubis désignait le courage et avait la couleur du sang... J'avais préféré prendre une pierre qui désignait bien ma futur femme et surtout qui désignait bien notre relation. L'alexandrite avait la particularité de changer de couleur, elle était bleu verte à la lumière du jour ce qui signifiait la pureté des sentiments, la communion des âmes et la compréhension de l'autre, elle devenait lilas ou rose-rouge sous la lumière artificiel ou le feu ce qui voulait dire amour, sincérité et pureté et elle prenait la couleur grise sous les néons ce qui signifiait la fidélité. Cette pierre rassemblait tout ce que je ressentais pour elle et c'était en partit pour ça que je l'avais choisis. Je remis la boite dans ma poche tout en tournant en rond, je ne pouvais pas m'arrêter de marcher puisque c'était un moyen de me calmer.
J'étais de plus en plus impatient, je me demandais ce qu'elle faisait ce qui était plutôt idiot vu qu'elle ne devait arriver que dans une dizaine de minutes mais je ne pouvais m'empêcher de me dire qu'elle ne viendrait pas ce qui était encore plus stupide, elle n'avait jamais raté aucun de nos rendez-vous, pourquoi le ferait-elle maintenant? Quel femme... dès que je pensais à elle un sourire se dessinait sur mon visage, un sourire amoureux et admiratif. Elle était toujours si sûr d'elle et imprévisible, c'était ce que j'appréciais le plus chez elle... je me demandais d'ailleurs ce qu'elle pouvait me trouver mais j'étais heureux qu'elle me trouvais assez de chose pour me supporter. Je m'étais enfin arrêté de marché et j'étais face au lac, en face de la montage qui commençait à être de plus en plus rouge/violette au fur et à mesure que le soleil descendait. Ce lieu était vraiment magnifique, un endroit parfait pour demander à Kate de devenir mon épouse. Je cherchais encore les mots dans ma tête, un discours que je pourrais lui faire mais rien n'arrivait. Je crois qu'une petite improvisation sera la bienvenue, je suis assez fort pour cela, après tout je n'avais rien préparé quand j'avais parlé au Volturi de la fille des Cullen et j'avais plutôt été convaincant... J'observais le paysage, j'avais l'air calme, si on oublie que je jouais avec mes mains, mais à l'intérieur de bouillait d'une impatience qui était rare et je savais que quand j'apercevrais Kate cela ne ferait qu'empirer.
![Garrett Denali [en cour] Wonder10](https://i.servimg.com/u/f63/11/23/55/58/wonder10.jpg) Et merci à tous lol (et désolé pour l'orthographe) | |
| | | | Renesmée C. Cullen
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